La Jungle a été achevée de planter en avril 2011 sur une zone qui était jusqu'alors uniquement recouverte de sable et de gravas. Le 31 mars 2011, deux mois après le début de la révolution,
cette tranche de travaux a été inaugurée.
La particularité de cette zone est que les jardiniers n'y interviennent que pour arroser. On y laisse pousser toutes les mauvaises herbes librement et on n'y taille quasiment pas les arbres. L'intérêt de laisser une zone de « friche » (relative, car en Égypte, une zone laissée sans soin se désertifie si on ne l'arrose pas) est que les animaux peuvent s'y réfugier tranquillement, et qu'on peut y observer le comportement des espèces végétales les unes par rapport aux autres. La Jungle a aussi un intérêt esthétique, étant très différente des autres espaces du jardin.
La pompe d'irrigation en mai 2012
Entrée de la Jungle du côté de la pépinière en avril 2012
Une des tortues aperçue dans la Jungle en février 2012
La Jungle vue depuis le Kiosque africain en février 2012
La Jungle vue depuis le chemin du fond en octobre 2011
La Jungle vue depuis le Kiosque africain en juin 2011
La Jungle vue depuis le portail du fond en juin 2011
L'installation de la Jungle est achevée en avril 2011
Vue de la Jungle depuis le fond du jardin en décembre 2010
Le Kiosque africain en décembre 2010
Pose des fondations du Kiosque africain dans la Jungle en octobre 2010
L'emplacement de la Jungle en juillet 2010, vue depuis le portail du fond
Livraison de compost végétal offert par l'entreprise Tri-Ocean Energy et épandu sur l'emplacement de la Jungle en avril 2010
Vue de la Jungle depuis le fond du jardin en avril 2010
Début des travaux d'aménagement de la Jungle en novembre 2009 grâce au don de Jean et Eugene Stark
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